tag:blogger.com,1999:blog-9002761125454792398.post5919655290937068579..comments2024-02-09T20:26:30.894+01:00Comments on De seuil en seuil: Sacha Ramos, Le complot des apparencesAnne-Françoisehttp://www.blogger.com/profile/04590792078766033149noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-9002761125454792398.post-3350204430673725682010-01-26T11:45:02.912+01:002010-01-26T11:45:02.912+01:00Belle année pour naître (ou alors, foutue année - ...Belle année pour naître (ou alors, foutue année - tout dépend du côté de l'Atlantique sur lequel tu te trouves)... Bonnes lectures Sophie!!!Anne-Françoisehttps://www.blogger.com/profile/04590792078766033149noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-9002761125454792398.post-83518376012145317192010-01-25T20:24:50.868+01:002010-01-25T20:24:50.868+01:00Anne Françoise,
je suis de retour,
juste pour te ...Anne Françoise,<br />je suis de retour, <br />juste pour te dire que la route est d'une pureté et d'une sobriété si ...riches!<br />Je pars à la neige avec le complot des apparences et ... de si jolis chevaux de Mc Carthy, encore lui, tu as vu, il est né en 1933...Sophienoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-9002761125454792398.post-87053873778955440012010-01-24T23:27:45.891+01:002010-01-24T23:27:45.891+01:00Cher Yoann, heureuse que tu aies décidé de t'a...Cher Yoann, heureuse que tu aies décidé de t'attaquer à l'oeuvre de McCarthy, qui est pour moi l'un des plus grands écrivains de notre temps! Merci pour ton commentaire, trop gentil comme d'habitude... En ce qui concerne Valéry, tu as raison : il a écrit dans un dialogue (L'idée fixe ou deux hommes à la mer) "ce qu'il y a de plus profond en l'homme, c'est la peau", phrase qui à mon sens éclaire et guide la lecture du roman de Sacha Ramos (qui l'avait très certainement à l'esprit, encore faudrait-il pouvoir le lui demander). L'on retrouve d'ailleurs plusieurs références directes à des phrases de Valéry à la fin du roman - en tout cas, c'est là que je les ai surtout décelées - avec le fameux "n'entre pas ici sans désir" gravé sur un mur du palais de Chaillot; dans ce même chapitre, le narrateur se définit comme un artiste au sens que Valéry donne à ce mot : celui qui voit "ce que tout le monde peut voir mais que personne ne voit". Pour reprendre la petite (et superficielle) réponse que j'ai donnée à une malicieuse question que notre ami JCM me posait sur le blog des ELS, je pense que si Igor Ramirez, le protagoniste du roman, ne voit le monde que comme apparence, il ne saisit de lui-même, au début, qu'une image dans le miroir, et que de cette confrontation entre deux surfaces fait naître la singularité. Mais je ne suis sûre de rien : c'est peut-être une interprétation personnelle délirante!!!Anne-Françoisehttps://www.blogger.com/profile/04590792078766033149noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-9002761125454792398.post-25161769912946455932010-01-24T20:38:35.135+01:002010-01-24T20:38:35.135+01:00Chère Anne-Françoise, c'est encore un article ...Chère Anne-Françoise, c'est encore un article bien clair et bien intéressant que tu nous livres. Faire de la profndeur, de l'émotion et de l'authenticité avec du commun et du superficiel est un original et beau pari. Ca me rappelle des souvenirs de sujets de dissertations où justement il fallait commenter une pharse de Valéry portant justement sur l'articulation entre surface et profondeur (de mémoire quelque chose comme "le plus profond de l'homme, c'est la peau"). <br /> Je voilais aussi te dire que "la route" m'avait tellement plu que j'ai continué sur cette voie et vais bientôt m'attaquer à "Méridien de sang" de cormac McCarthy: tes articles porant sur des livres ont donc la propriété de nous les faire lire, aimer, et de nous faire continuer à en lire les auteurs...Yoannnoreply@blogger.com