tag:blogger.com,1999:blog-9002761125454792398.post5249864435892045680..comments2024-02-09T20:26:30.894+01:00Comments on De seuil en seuil: Des trains à travers la plaine...Anne-Françoisehttp://www.blogger.com/profile/04590792078766033149noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-9002761125454792398.post-84091894061366120432012-03-28T22:00:17.731+02:002012-03-28T22:00:17.731+02:00Et pourquoi ne pas te répondre par un "musi...Et pourquoi ne pas te répondre par un "musical"...<br /><br />Ce que j'avais écrit avec mes "gouttes de sons", ...<br />qui s'appuyait sur Ch Mingus ( Goodbye Porkpye Hat, et la reprise de Jeff Beck)<br /><br /><br /><br />----------<br />Quelques gouttes de sons<br /><br />de la gamme basse<br /><br />S’extraient du gros caisson<br /><br />Et font vibrer ma tasse<br /><br />Et le saxo se déhanche<br /><br />Le rythme s’accélère<br /><br />Les doigts courent sur le manche<br /><br />en accords réverbères<br /><br />La mélodie s’envole,<br /><br />Volutes de vapeur s’infusent<br /><br />Variations en mineur sol,<br /><br />Que les projecteurs diffusent<br /><br />Tournicotent et balisent<br /><br />Basse et guitare mélangées<br /><br />Beck et Tal improvisent<br /><br />Rythmes et phrases orangées<br /><br />C’était la couleur de sa robe<br /><br />Devenue soudain soie – bleue<br /><br />Et que la danse enrobe<br /><br />Nouvel oiseau de feux<br /><br />Du chapeau plat de Lester<br /><br />En forme de tourte “pye”<br /><br />Clamant, blues solitaire,<br /><br />Mingus , et son “Goodbye”<br /><br />Aux visages couleur-de-cigare<br /><br />Perdus dans les ronds de fumée<br /><br />Que, seuls, la musique réparent<br /><br />A la saveur du café, exhumés.<br /><br />Au gouttes de sons , en phase<br /><br />Autour de la basse électrique<br /><br />Montent d’autres phrases<br /><br />En gerbes, couleurs prolifiques<br /><br />Se séparent et culbutent<br /><br />En tierces augmentées<br /><br />Alors que le public exulte<br /><br />En vagues, mouvementées<br /><br /><br /><br />RC fev 2012rene chabrierehttp://ecritscrisdotcom.wordpress.comnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-9002761125454792398.post-83208705435499172042011-10-12T13:38:22.187+02:002011-10-12T13:38:22.187+02:00Oui, Marylin, je le sais aussi, que nous communiqu...Oui, Marylin, je le sais aussi, que nous communiquons ainsi... Et d'ailleurs, je t'écrira pour te dire qu'il y a d'autres poins communs dans nos parcours de ces derniers temps. Merci, merci de déposer tes mots ici, je t'envoie un mail ce soir. Je t'embrasse...Anne-Françoisehttps://www.blogger.com/profile/04590792078766033149noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-9002761125454792398.post-19857454748819179362011-10-12T12:04:25.451+02:002011-10-12T12:04:25.451+02:00Je le savais, ma chère Anne-Françoise, que nous co...Je le savais, ma chère Anne-Françoise, que nous communiquions à distance sans avoir besoin de se voir, I knew it, NU IT et la coïncidence est très troublante car il se trouve que j'écoute beaucoup Alain Bashung en ce moment en voyage en solitaire dont j'ai besoin tout en étant entourée.<br /><br />Ascoltando ti sto, écoutant je te suis.<br /><br />Avec d'autres artistes, Il crée une trouée dans mon deuil, je n'ai pas cessé de regarder la vidéo de ses derniers concerts. La nuit je mens m'a enfin fait venir les larmes, je le regarde, sensible à sa carnation blanche et tellement fine, son expeausition, la gestuelle de ses mains délicates qui touchent l'espace, dans le même temps une pianiste me rendait la même sensation, ce que j'ai apprécié le plus dans son jeu pianistique sur un piano Bechstein de 1929 qui a du corps c'est justement son toucher piano, elle commence en caressant délicatement la touche du piano et s'enchaînent les galops chromatiques de Liszt dont je connaissais mal l’œuvre.<br /><br />La dernière sensation que l'on partage quand les mots ne parviennent plus au vivant en fin de vie c'est le toucher. Une de mes très proches vient de me dire qu'elle a proposé Œdipe à son atelier théâtre avec une contrainte qui est d’apporter un tissu et de jouer sensations avec, nous avons eu en même temps, un pied enflé qui nous a obligées à porter canne, ce qui m'émeut c'est l'optique - haptique qu'elle va expérimenter avec eux avec la sensation du toucher du tissu et de la peinture.<br /><br />Dans le labyrinthe à droite de ce territoire dont je lis les ombres portées qui m'apportent les mots que j'ai perdus et que je retrouve au fil du temps, il a été question du grand vide informatique et aussi de l'écrivain Esteban Buch à 33 mn de la vidéo http://www.canal-u.tv/themes/lettres_arts_langues_et_civilisations/arts/musique/l_art_reflet_de_la_societe_esteban_buch on voit bien combien la rupture est difficile à travers ce que Arnold Schönberg proposait en 1908 en musique et le mot struction, dans le labyrinthe également dont je recommande l'entretien radio qui fait liens de toutes les ombres portées à droite, s'il veut expérimenter les arrangements à dé-ranger ça me convient bien car ce qui permet de gommer les ombres portées c'est le scialytique, c'est ainsi que l'on peut S'EMPARER (à 3 voix : Jean-Louis Giovannoni et inversement DES MONTRES ET PRODIGES Ambroise Paré) de l’œuvre d' un autre artiste, EXCÈS DE CORPS DE PRÉSENCE dans une pensée active.<br /><br />Le portique Bolanien est plus que jamais très vivant, on pourrait croire que ses territoires sont vides mais faux, il laisse place à l'hospitalité virtuelle qui s'actualise sans fin.Marylin Rollandhttps://www.blogger.com/profile/14125133629211342832noreply@blogger.com